Vous pouvez découvrir mon travail sur mon site : www.harryboudchicha.com
« L’amour et le crâne » a reçu le Grand Prix Renée Bejà de la Fondation Taylor à l’occasion du Salon d’Automne de Paris 2018.
Hasard est un tableau de Harry Boudchicha, il a été retenu par le jury du Salon d’Automne de Paris pour figurer dans l’édition 2004.
Belhair est un tableau de Harry Boudchicha, il a été retenu par le jury du Salon d’Automne de Paris pour figurer dans l’édition 2016.
Il sera exposé ce mois d’août 2017 au National Art Center Tokyo.
Interieurs est un tableau de Harry Boudchicha, il a été retenu par le jury du Salon d’Automne de Paris pour figurer dans l’édition 2017.
Tous les soirs à 20h30, vous pouvez me retrouver sur la chaîne Muséum dans l’émission « Sketchbook » avec trois autres artistes, Raphael Federici (le street artist), Marine Goodmorning (l’illustratrice) et Luca Fiore (le dessinateur d’animation).
Toutes les infos sur :« SKETCHBOOK » sur le chaîne MUSÉUM ICI !
Intérieurs : cliquez ici pour voir la suite
Nature morte et petit format : étude d’objet, peinture à l’huile sur toile
Cliquez ici pour voir la suite
Dessin et peinture d’après modèle vivant :
Le modèle vivant : cliquez ici pour voir la suite
Le dessin est réalisé à la pierre noire HB et au crayon Conté blanc, sur un papier gris chiné Canson, format raisin (50x65cm). Avec le crayon blanc sont soulignées les zones de lumière, avec la pierre noire l’ombre. La couleur du papier correspond à la valeur intermédiaire entre l’ombre et la lumière. La pose est de 45 minutes.
Pierre noire et crayon conté sur papier gris :
Sanguine, pierre noire et crayon blanc sur papier brun :
Sépia et crayon blanc sur papier gris claire :
Peinture à l’huile sur toile d’après des dessins de nu : cliquez ici
Cette série d’huiles sur toile représentant le nu féminin est une recherche picturale sur le rapport entre le corps et l’espace, le sujet et son support : comment faire participer le support au maximum à l’ensemble ?
L’idée est d’intervenir au minimum sur la toile et de parvenir à révéler le corps à travers quelques lignes et touches de couleurs. L’harmonie entre le support et le sujet provient de cette simple économie de gestes.
La réalisation de l’oeuvre commence par une étude classique dessinée d’après modèle vivant réalisé à la pierre noire HB et au crayon Conté blanc, sur un papier gris chiné Canson, format raisin (50x65cm).
Une esquisse d’après ce dessin est ensuite tracée au carré pastel, sanguine et sépia, sur la toile en lin vierge. Elle permet de définir la composition finale, de délimiter les différentes zones de valeurs, de poser le tracé de la ligne.
Contrairement au croquis préparatoire qui s’attache à être fidèle à l’observation, l’intervention de la couleur donne lieu à une réinterprétation plus libre du sujet tendant vers l’abstraction. La couleur est appliquée en touches larges et géométriques, décomposant la lumière à la façon d’un prisme.
Comme le papier gris du dessin préparatoire, la couleur de la toile brute en lin (la préparation est transparente) sert de nuance de référence pour la mise en couleur des zones de lumière et d’ombre. La toile non peinte est alors perçue comme participante au sujet et non plus comme simple support. La palette se déploie alors dans une gamme de gris colorés dont la chaleur varie en fonction de l’inspiration. Tantôt orangé, tantôt bleuissante, elle s’inspire cependant toujours des teintes que l’on observe de la carnation.